vendredi 18 mars 2011

Mademoiselle O évite la cata

Un matin, avant d'aller à l'école, les enfants avaient 5 - 10 minutes de libres pour feuilleter ou dessiner. La Châtelaine se reposait sur le canapé sans les regarder vraiment.

Mademoiselle O pointe le bout de son nez avec un cadeau pour sa maman. Elle ouvre sa main, et que voit la Châtelaine... ? Trois ou quatre mèches de cheveux blonds... Dans l'autre main : la paire de petits ciseaux verts dévolue aux enfants.
HORREUR !

L'effarement de la Châtelaine a dû se voir sur son visage car Mademoiselle O s'est mise à fondre en larmes pendant que sa maman inspectait son cuir chevelu.

OUF, plus de peur que de mal, les mèches provenaient de l'arrière du crâne et dans la masse des cheveux. Il n'y avait donc aucun impact visuel. Pas besoin de corriger la coupe de l'apprentie coiffeuse par un ratiboisage en règle du crâne (comme une collègue avait dû le faire à sa fille quelques années auparavant après un événement semblable, mais plus radical).

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vendredi 18 mars 2011

Mademoiselle O évite la cata

Un matin, avant d'aller à l'école, les enfants avaient 5 - 10 minutes de libres pour feuilleter ou dessiner. La Châtelaine se reposait sur le canapé sans les regarder vraiment.

Mademoiselle O pointe le bout de son nez avec un cadeau pour sa maman. Elle ouvre sa main, et que voit la Châtelaine... ? Trois ou quatre mèches de cheveux blonds... Dans l'autre main : la paire de petits ciseaux verts dévolue aux enfants.
HORREUR !

L'effarement de la Châtelaine a dû se voir sur son visage car Mademoiselle O s'est mise à fondre en larmes pendant que sa maman inspectait son cuir chevelu.

OUF, plus de peur que de mal, les mèches provenaient de l'arrière du crâne et dans la masse des cheveux. Il n'y avait donc aucun impact visuel. Pas besoin de corriger la coupe de l'apprentie coiffeuse par un ratiboisage en règle du crâne (comme une collègue avait dû le faire à sa fille quelques années auparavant après un événement semblable, mais plus radical).

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